Sur le site, se prépare le tournage d'un film.( c'est le vigile qui m'a expliqué).
Nous pouvons tout de même accéder au lac vert situé dans le cratère d'un ancien volcan qui plonge dans l'Atlantique.
Le vert (un peu pisseux il est vrai) contraste avec le sable noir devenant un véritable piège pour les passionnés de photographie .
nota bene: la couleur est due à des algues microscopiques tandis que le terme Clicos fait référence à une espèce de bivalves .
Dans les coulées de lave.
La lave a coulé ici dans la mer.
Le minuscule chemin est bordé des deux côtés de bombes volcaniques.
Une ferme isolée au milieu de cette désolation nous sert de point de repère, derrière elle se dresse la montana Quemada origine de cette coulée.
Sur place, le "fermier" nous indique le moyen le plus simple d'accéder au "paso" et à la grande maison qui domine le paysage.
Au passage nous montons sur un minuscule volcan aux allures de Minas Tirith.
A son sommet trône un sanctuaire primitif garni d'ex voto dédiés à on ne sait trop qui.
Au "paso" Le chemin est barré par le diable qui nous interdit le chemin. ( Nous sommes dans le parc de Timanfaya.)
Plus loin , les gardes du parc, plus persuasifs que le diable vont nous faire rebrousser chemin.
Va s'en suivre une progression à vue dans les "bad-lands".
Il est extrêmement difficile de marcher sur ce type de terrain volcanique.
Empruntant des itinéraires séparés ( l'un avait la mer pour azimut, l'autre l'hacienda blanche) nous nous retrouvons au village touristique de El Golfo.
Los Hervidieros.
Route effondrée et interdite, nous repérons le volcan rouge qui s'est ici déversé dans le mer et admirons les récifs coupants qui en ont résulté.
Las salinas.
Plus loin se trouvent des salines (salinas de Janubio) encore en activité. Un peu déçu par leur aspect (peut être est ce à cause du soleil qui a disparu?) et chassés par le vent qui forcit, nous rentrons.
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