Les indolents
- pauletiennejean
- 3 juin 2018
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Plus fort qu’un pauvre "Cers" qui souffle sur Narbonne
Balayant sans mollir les terres et les côtes
De Guimar à San Juan
soufflent les alizés
ils ventent en permanence
Au large de l’Afrique
Obligeant à porter moultes petites laines
Alors que brille ici un soleil pas banal
Espérant chaque soir leur arrêt périodique
Rendant solarium et piscine pratiques
Nous ramenant des îles tout beaux et tout bronzés
Et découvrant enfin une pratique nouvelle:
Fréquenter une plage bien peu confidentielle
Vautrés entre Teutons et Anglais tout rosés.
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