Mieux vaut avoir des remords que des regrets (ou plutôt l'inverse )
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A l'issue de ce long séjour,malheureusement ,nous n'aurons pas :
- fait de séance photos sur les falaises de Costa Ayala.
(L'air marin avait eu raison de l'équipement en place.)
- cédé à la tentation de participer à la vie nocturne.
(Les musiques et les cris résonnaient directement dans notre chambre, alors...)
- visité le Mundo Aborigen.
( D'après nos mentors, c'était un piège à touristes.)
- grimpé à Tamadaba.
(Le nombre de grimpeurs par jour était limité et les voies en
5 et 6 déséquipées )
- emprunté la route de l'ouest.
(Trois heures pour faire soixante dix kilomètres, ça aurait été trop tendu)
- "chevauché" les dromadaires du Camel-park.
( A pied dans les dunes, c'était bien comme ça.)
- péché l'espadon en haute mer.
(ça ne nous a pas empêché d'en commander au restaurant. )
- tombé le maillot sur la plage naturiste de Faneroque.
(La marche d'approche par la route ne nous a pas tenté.)
- mangé à la première guinguette du port de la Niévé.
(Dommage, elle était classée numéro 1 sur trip advisor.)
- fait les courses au maxi Hyper Dino du rez de chaussé.
( Il était pourtant annoncé comme exceptionnel.)
- acheté du "tuberculinum" à la pharmacie Martinez de Vécindario.
(C'était pourtant ,sur l'île, la référence en matière d'homéopathie.)
- accepté un troisième "chupito" après un repas à la Gran Reserva.
( Même si nous étions à pied,cela aurait été abusé.)