En guise de conclusion

un amor como no hay otro igual.

La galerie ne serait pas complète si je n'y incluais ma femme compagne ou instigatrice d'ascensions

plus ou moins lumineuses depuis les années 80.

“version Ange” :

Si ça continue, on va devenir arrogants...

Des cordées, enthousiastes attaquent la « fusée ».

Bousculade dans la première longueur, je m’incruste sur la chaîne, Fido surgit et se lance dans le magnifique dièdre qui fait suite. Pas dans le dièdre, il est encombré de grimpeurs qui font du point à point, légère, reine du placement, elle danse sur le rocher ne rejoignant la fissure que pour poser ses protections.

La classe ! Sur la droite,une variante continue plein gaz permettant d'éviter la cohue.

C’est fin ! Jeté sur une petite écaille, léger posé de pied et nouveau jeté sur une oreille salvatrice, ça tient, mousquetonnage ; le Fido n’a pas éprouvé la moindre difficulté.

“version Démon”:

Alors va voir ailleurs...

J’en ai marre ! Tu me gonfles ! Je redescends !

Vous allez faire le “pendentif “ ? Ma femme est au relais, je vous la laisse.

Le sac de matériel sur le dos, je rejoins la route, on me prend en stop, oui, mais 20 km plus loin.

Voilà entre autre comment a pu naître la légende, (le mythe devrais je dire. ) totalement exagéré bien sûr,du couple infernal.