Nuits

Voûte étoilée ou voûte céleste me nomment les poètes à la cour du Tsar.Pour tromper mon ennui,je regarde en bas, guettant un nuipothétique noctambule,vaquant nuitamment à la recherche d’un nuisible sabbat.

J’épierais les inuits,pourtant,rester six mois sans dornuir ne pourrait que me nuire,c’est au dessus de mes forces.

j’assisterais énuidemment aux joies rugueuses de tendres retrouvailles.

Que nennuit,ce soir,je me sens nuit câline,je veille sur ma petite Causette,fragile chrysalide pelotonnée pour une nuitée dans son inconfortable cocon,grelottant de froid auprès d’un maigre feu de brindilles.